"Das ist seine dritte Frau."
Traduction :C'est sa troisième femme.
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"dritte" prend deux "t" ce qui a pour effet de rendre le son "i" bref (un peu comme le français "il") par opposition au "i" long (un peu comme le français "ici").
La règle est générale : une voyelle devant deux consonnes, redoublées ou non, donne un son bref. Même règle mais avec une particularité pour "ss", song court, et ß, son long.
Pas vraiment : en l'occurrence, "Ceci est sa troisième femme" ne se dit pas, ou alors dans un contexte très particulier.
Exemple : montrant les œuvres d'un sculpteur, "ici, une statue de sa fille aînée, et à côté une sculpture de groupe de ses oncles et tantes. Près de la porte, sa première femme," et après quelque pas, devant une autre statue, "ceci est sa troisième femme". Et encore, c'est limite.
Et l'usage du pronom démonstratif n'a rien de dévalorisant ou d'inélégant : "Isabelle, c'est sa deuxième femme, non ?" - "Non, non, celle-ci est sa troisième femme." On désigne simplement la personne dont on vient de parler en dernier.
Euh, je ne me considère pas comme mal-pensant ou faisant partie de la cohorte des piètres gens et me garde de juger les choix de vie d'autrui dès lors qu'ils ne portent pas atteinte aux miens. Je ne vois pas d'"impératif catégorique" au sens kantien qui me pousserait à penser le contraire.
A propos de ton complément concernant les rois et autres, on dit bien "Ludwig der vierzehnte", mais on l'écrit en général "Ludwig XIV." ; voici un article en allemand à son sujet (et j'en ai trouvé de nombreux autres l'orthographiant ainsi) : https://www.planet-wissen.de/geschichte/persoenlichkeiten/ludwig_der_vierzehnte_der_sonnenkoenig/index.html
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Cliché de nos actuelles sociétés. Les deux précédentes peuvent simplement être mortes. La phrase peut être dans un présent de narration pour évoqué, par exemple, une histoire au Moyen-âge.